Les élections législatives qui se sont déroulées hier, 10 mai 2012, ont été présentées comme la preuve d’un ‘processus d’ouverture démocratique’.
Le Rapporteur Spécial des Nations Unies sur la liberté de réunion pacifique et d’association a exhorté les autorités algériennes à s’assurer que les nouvelles dispositions répondent adéquatement aux exigences du droit international des droits de l’homme.
Le 30 avril 2012, le juge a décidé que le dossier ouvert pour émeutes contre Doros Polycarpou suite aux événements tragiques survenus lors du Rainbow Festival tenu à Larnaca, Chypre, en 2010, était recevable.
L’Observatoire pour la protection des droits de l’Homme (de la FIDH et l’OMCT) et le REMDH s’inquiètent de la détention arbitraire et du harcèlement judiciaire mené contre le défenseur des droits de l’Homme Abdelkader Kherba.
Dans un rapport conjoint publié aujourd’hui, le REMDH, le CFDA, la LADDH et le SNAPAP interpellent le public algérien ainsi que les observateurs internationaux présents en Algérie sur les nouvelles lois adoptées en Algérie.
Les organisations soussignées expriment leur grave inquiétude pour la sécurité de Mazen Darwish (Centre Syrien des Médias et de la Liberté d’Expression) et de 7 de ses collègues, arrêtés lors d’une perquisition de leur bureau à Damas.
Le REMDH et l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme inquiets de la dégradation des conditions d’exercice des libertés d’association et de rassemblement pacifique en Egypte.
Egypte: La liberté d’association en péril Lire la suite »
Plus d’un an après la révolte du peuple tunisien et l’éviction de Z. BEN ALI, le Comité Exécutif du Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) s’est réuni à Tunis les 24, 25 et 26 février 2012.
Le Comité exécutif du REMDH se réunit à Tunis Lire la suite »
Lors d’un sit-in réclamant les droits des chômeurs et travailleurs précaires devant la Maison de la Presse à Alger, 40 syndicalistes du Comité des travailleurs du pré-emploi et filet social, affilié au SNAPAP, ont été arrêtés avant d’être libérés sans charge.
Le 24 février 2011, le gouvernement algérien levait l’état d’urgence en réaction à la vague de protestation populaire qui a pris la région d’assaut et qui commençait à prendre de l’ampleur au même moment en Algérie.
