EuroMed Rights exhorte l’Egypte à clore le cas des « financements étrangers » (cas 173/2011) et à retirer toute mesures de harcèlement et d’intimidation des défenseurs des droits humains, y compris les interdictions de voyager, le gel des avoirs et les enquêtes fiscales créées de toute pièce.
L’UE et ses Etats membres doivent suivre l’audience de dimanche 17 Juillet, qui pourrait avoir un effet dévastateur sur la société civile égyptienne.
Le dimanche, une Cour pénale du Caire examinera un ordre de geler les avoirs de plusieurs éminents défenseurs égyptiens des droits humains. Ce cas politiquement motivé, connu comme le « cas des financements étrangers » qui cible les défenseurs des droits humains et les ONG qui reçoivent des fonds étrangers, pourrait entraîner des accusations criminelles pour lesquelles ils encourent jusqu’à 25 ans de prison.
Lire le communiqué en anglais.