La situation reste préoccupante à Assamaka, dans le nord du Niger, où 5 000 migrant·es expulsé·es d’Algérie vivent dans des conditions très précaires (manque d’eau, chaleur extrême) depuis plusieurs semaines dans l’attente d’une solution. La majorité d’entre elles et eux sont originaires d’Afrique de l’Ouest, mais certains viennent également du Bangladesh et de Syrie.
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