Au cours des dernières semaines, l’Égypte a accueilli plusieurs réunions de haut niveau centrées sur la migration. Le ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani a voyagé en Egypte pour discuter de migration le 14 mars. Tajani, qui avait déjà visité Le Caire en janvier, décrit L’Egypte comme « un pays clé dans la lutte contre l’immigration clandestine » et a exprimé l’espoir que « sur la question de la migration, l’Egypte ne devienne pas la nouvelle Tunisie ». Le 13 mars, le président Abdel Fattah al-Sissi a rencontré le Premier ministre danois Mette Federiksen pour discuter de la migration irrégulière, de la guerre russo-ukrainienne et du Grand barrage de la Renaissance éthiopienne. Au cours de la réunion, El-Sissi a souligné que son pays « tenait à ne pas être un point de passage » pour les personnes cherchant à se rendre illégalement en Europe. Entre les 26 et 28 mars, l’Egypte aussi reçu la vice-présidente de la Commission européenne, Margaritis Schinas, dont la visite visait à définir des mesures politiques et opérationnelles concrètes pour relever les défis liés à la gestion des migrations.
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