Rechercher

Migrant·es et réfugié·es

Grèce

DERNIÈRES MISES À JOUR

15/05/2024 – 10/06/2024

  • Le 06 juin 2024, dans l’îlot de Nimos 17 personnes migrantes dont des enfants ont été secourus par les autorités grecques.
  • Le 05 juin 2024, Aegean Boat Report a fait état de 3.034 refoulements effectués par les garde-côtes grecques depuis janvier 2020. Sur cette période, 82.894 hommes, femmes et enfants ont été affecté·es par ces opérations violentes.
  • Le 31 mai 2024, une personne migrante est décédée et 5 autres ont été blessées lors d’un choc avec un bateau des garde-côtes près de l’île de Symi en Mer Egée.
  • Le 27 mai 2024, malgré leur acquittement en appel par le tribunal de Kalamata, les 9 survivants du naufrage de Pylos qui avaient été accusés pour la mort de plus d’une demi-centaine de personnes, étaient toujours en état d’arrestation. Cette “rétention administrative” peut durer des mois jusqu’à ce que leur demande d’asile soit étudiée.
  • Le 24 mai 2024, 140 personnes migrantes sont arrivées depuis l’Afrique du Nord en Grèce. Après un voyage périlleux, elles ont réussi à débarquer au sud de l’île de Crète.
  • Le 23 mai 2024, un groupe de migrant·es avait échoué sur l’île de Symi. La police grecque a déclaré qu’ils se trouvent désormais en sécurité.
  • Le 23 mai 2024, 40 personnes se trouvaient en détresse près de Crète. Après avoir été secourues par le navire commercial Juliet, elles ont pu débarquer le 24 mai 2024, à l’île de Crète. Une personne est morte noyée durant les opérations de sauvetage. Les garde-côtes grecques ont débarqué le reste du groupe dans le port de Kaloi Limenes.
  • Le 21 mai 2024, un juge grec a abandonné les poursuites contre 9 hommes d’origine égyptienne qui avait été accusés d’être à l’origine du naufrage de Pylos en juin 2023. Lors du procès, estimant que le bateau Adriana ne se trouvait pas sous la souveraineté maritime grecque, le tribunal de Kalamata a considéré que l’affaire se trouvaient en dehors de sa compétence territoriale. La catastrophe de l’Adriana avait tué plus de 500 personnes et les vingtenaires égyptiens survivants risquaient la prison à perpétuité.

Pour la période allant de juin 2021 à mai 2022, cliquez ici.

Pour la période allant de septembre 2020 à juin 2021, cliquez ici.