Le 8 septembre, l’Observatoire syrien des droits de l’homme a annoncé que 3 frères syriens étaient portés disparus depuis 20 jours après avoir franchi la frontière syro-turque. L’Observatoire soupçonne que des réseaux de trafic d’organes soient à l’origine de ces disparitions.
Le 1er septembre, les autorités turques ont expulsé 147 réfugié-es syrien-nes d’un centre de détention de Gaziantep vers le nord de la Syrie. Depuis le début de l’année 2024, la Turquie expulse 100 Syrien-nes par jour, les utilisant comme un pion politique pour justifier la présence turque dans la région.
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