Le 02 mars 2024, alors que les départs “volontaires forcés” des réfugié·es au Liban vers la Syrie se multiplient, des prisonniers syriens ont menacé de se suicider. Près de Beyrouth, dans le centre pénitencier de Roumieh, un groupe de réfugiés syriens enfermés ont exprimé leur opposition à l’ordre de les déporter. Si la décision venait à être exécutée, ils avaient l’intention de se pendre, selon les informations relayées par l’Observatoire Syrien des Droits Humains.
Le 23 février 2024, la police municipale de Beyrouth a tué un réfugié syrien et en a blessé un autre. L’Acces Center for Human Rights exige que ce crime d’Etat ne reste pas impuni et qu’une enquête soit menée afin que les autorités libanaises protègent les droits inaliénables des personnes réfugiées.
We use cookies to ensure that we give you the best experience on our website. If you continue to use this site we will assume that you are happy with it.Ok