Le 26 novembre, l’organisation Réfugiés en Libye a signalé que des centaines de migrant.e.s noir.e.s à Jebeniana , en Tunisie, ont été attaqué.e.s, aspergé.e.s de gaz lacrymogène, battu.e.s et dépouillé.e.s de leurs biens. Beaucoup ont été blessé.e.s, mais se voient refuser des soins hospitaliers à cause de leur statut.
Le 25 novembre, la Médiatrice européenne a identifié un cas de mauvaise administration dans le traitement par la Commission d’une demande de documents concernant l’accord UE-Tunisie et les réunions préparatoires de haut niveau. La Médiatrice a critiqué les efforts inadéquats de la Commission européenne pour localiser les documents, soulignant l’importance d’une meilleure transparence dans la politique migratoire de l’UE.
Le 19 novembre, le site d’information en ligne italien Fanpage.it a rapporté que les 7 et 8 novembre dernier, un bateau transportant environ 80 personnes avait été « heuré » par les garde-côtes tunisiens jusqu’à ce qu’il chavire, causant la noyade d’environ 52 personnes. Les survivant.e.s ont ensuite été soit vendu.e.s à la Libye, soit déporté.e.s dans le désert. Au moins 13 femmes figuraient parmi les personnes abandonnées dans le désert. Les autorités tunisiennes ont démenti ces allégations.
Le 19 novembre, le ministre tunisien des Affaires étrangères s’est entretenu avec les ambassadeurs et ambassadrices des États membres de l’UE en Tunisie pour discuter du renforcement du partenariat entre la Tunisie et l’UE dans différents secteurs. Ils ont souligné leur volonté de renforcer les programmes de rapatriement librement consenti des migrants en situation irrégulière en Tunisie vers leurs pays d’origine.
We use cookies to ensure that we give you the best experience on our website. If you continue to use this site we will assume that you are happy with it.Ok