Le 14 octobre, la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme a publié une déclaration exprimant son inquiétude pour la sécurité des personnes migrantes, des réfugié·e·s et des victimes de la traite en Tunisie. Les personnes en déplacement sont soumises à des violences systématiques lors d’opérations de refoulement, abandonnées dans des zones désertiques, violées, etc. Les expert·e·s ont été en contact avec les autorités tunisiennes et l’Union européenne sur cette question.
Le 13 octobre, Réfugiés en Libye ont signalé que la police était présente dans toutes les gares de Tunisie pour empêcher toute personne à la peau foncée de monter à bord des trains ou des transports publics.
Le 12 octobre, dans un contexte de violence croissante contre les personnes migrantes en Tunisie, un migrant originaire de Guinée a été abattu sans raison par un Tunisien.
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